J’aurais voulu y croire,
Croire en l’amour croire
Au bonheur de toujours
Indéfectible amour.
Tu me l’as enlevé
De la tête mon aimée.
Moi j’aurais bien voulu
Te voir pour toujours nue.
Vieillir sous tes beaux seins,
Qu’a jamais ils fussent miens.
Mais tout cela jamais,
Sera réalité,
Ceux-ci iront à d’autres,
Ceci n’est pas ma faute.
La poitrine des femmes est toujours cet obscur objet du désir qui brûle les yeux des hommes quand ils croisent du regard un décolleté généreux. Qu’il en soit ainsi pour toujours.
https://www.youtube.com/watch?v=QaN_IhgGEmM